Jours et nuits, parfums et musiques, lumières et

Jours et nuits, parfums et musiques, lumières et vents messagers me parviennent par cette seule ouverture, si haute qu’elle semble inaccessible.
Derrière moi, toujours plus menaçants, les hurlements et l’odeur de sang d’un monde qui n’a de cesse de se déchirer.
Je lutte, j’ai peur. Le découragement est mon seul répit. Et je lutte toujours, que pourrais-je bien faire d’autre ? Contre tout et tout le monde, sans plus aucun discernement.
Je n'entends pas d’abbé Faria derrière ces murs.
C’est en moi-même que je m’emprisonne.